Croiser le fai-/-re et le di-t/-re. En train de. Cheval de. Trait, d'un seul.
Entre les (d-/y-eux).
Regards
qui
se portent – ne
pas loucher, broncher – s'évitent,
se
suivent, pour
mieux se (ren)contrer/confronter.
Pas
un. Pas un(e) geste (mais
deux)
qui. Tisse
la vérité/brode le mensonge. (Tu)
Perd(s)
(à face)/(Je)Gagne
(à
pile).
Gauche/Droite. Cut-up-per-cut/-class. Fortune
cookies
truqués, pépites sur lesquels les dents se cassent, les mains se
lèvent, les coups de pieds aux. Se perdent les balles dans les.
Trous de mémoire, ornières.
Pas
Billy. Pas Garrett.
Donner/Laisser sa
ou la chance/parole à
chacun des deux. A
celui qui
(s')échappe,
(s')exp[l]o[-re/]-se,
en vols et cavales/Au
planqué qui a (at)tiré le
premier, (l')a
lâchement
dégommé. La
proie pour l'ombre,
l'alter pour l'ego. Envolées
lyriques et embuscades.
Lectures croisées, success-/addict-ives stories. De Pas Billy the Kid, de Julien d'Abrigeon, sortie le 12 mars 2005 dans la collection Niok des éditions Al Dante. — A ce jour épuisé. De La véritable histoire de Billy the Kid, de Pat Garrett, dans la traduction d'Estelle Henry-Bossonney, préfacé par Thierry Beauchamp, sortie le 9 janvier 2008 — Réédité le 10 avril 2017 dans la collection poche Griffe Famagouste d'Anacharsis.
Lectures croisées, success-/addict-ives stories. De Pas Billy the Kid, de Julien d'Abrigeon, sortie le 12 mars 2005 dans la collection Niok des éditions Al Dante. — A ce jour épuisé. De La véritable histoire de Billy the Kid, de Pat Garrett, dans la traduction d'Estelle Henry-Bossonney, préfacé par Thierry Beauchamp, sortie le 9 janvier 2008 — Réédité le 10 avril 2017 dans la collection poche Griffe Famagouste d'Anacharsis.
Part one (1/2) : Pas Billy the Kid, Julien d'Abrigeon
Alias le roman avorté de Lew Wallace Alias l'arme à gauche
Alias le roman avorté de Lew Wallace Alias l'arme à gauche
— Alias un bouquin qui se lit encore quand le Far West revient au
pouvoir aux USA
et frappe à nos portes [dédicace]
et frappe à nos portes [dédicace]
Billy the Kid → William H.Bonney → Henry McCarthy (qui n'est pas
the McCarthy) : Nom surnom prénom dérivé hypocoristique
diminutif pseudo-/crypto-nyme vrai nom. Généalogie en boucle d'un
homme fait par lui-même et les autres —
self-made/-fish-Kid (« N'ayant presque pas connu son père, il
n'a pas fait carrière dans le crime sous son patronyme. »)
Regarder d'arrière en avant, d'hier à aujourd'hui, ici et là, le
désœuvrement, les larcins, le délit de. Fuite et mort d'un héros
fait de héros, ses pairs – de Jesse et Frank James, de Ned Kelly,
des Daltons, de Bonny and Clyde (Hors
site 4&5 – Etaumne) jusqu'à Mesrine (qui
n'est pas cité ici — trop
loin, trop proche) – tous abattus lâchement et sommairement.
Leur(s) crime(s) : avoir volé les riches, les éleveurs, les
propriétaires, pris les armes contre l'injustice, les banquiers et
les policiers.
« Je construis les héros que je recherche. Je recherche des héros pour me construire. Je ne rencontre pas mes héros alors je les recherche, je les construis. »
La réalité du héros officiel : Lew Wallace, génocidaire,
Buffalo Bill, Tristesse de la terre. La poésie du héros
populaire : Pas Billy, criminel malgré lui, nous & vous,
la geste de l'esperluette. Passer par le cinéma, la musique,
l'orient – Constantinople – chercher la lumière du levant au
couchant. Ecrire du Far West de l'Europe sur le far Far West des
States. Suivre comme son ombre – pas plus ni trop vite – et
marcher dans les pas de Billy the Kid → tomber→ sortir→ éviter
les pièges/la traque. Narrer tout ça, se marrer en se disant à
quoi bon pourquoi pas, con-ten-/-ter le diable/se jouer de/se
reconnaître en lui —
« Maman m'a dit qu'un flingue est la main droite du diable,
main droite du diable, main droite du diable maman m'a dit qu'un
flingue est la main droite du diable. » (A
main gauche, La
Mer
gelée, numéro
Maman).
« Il est, dans les foires, des labyrinthes faits de miroirs et de glaces, où seul notre reflet nous guide (…) Il nous & vous faut pourtant prendre la route, à bras-le-corps, comme un courage à deux mains, une droite, une gauche, une deux, droite gauche. »
Entre chien et loup, la proie et l'ombre. De l'un à l'autre qu'un
pas (cap ou pas). Etre flingué ou pas. Pique la curiosité,
Henry. Bouffe les pissenlits, Billy. Mauvais garçons, fils à/de,
fais (pas) ci, (pas ça) fissa. Et puis soudain, épisode 1 :
BTK versus GIPN (« le Bronx dans le Massif central »,
Sombre
aux abords, abroad & inside), l'arme à
gauche — automatique,
l'arme. Violence-roquette en bandoulière, la cible comme
marque-page. La patience de mise (à toute/rude épreuve), la monnaie
émise. Remisé, épuisé Billy, la tête mise. A pri-x/-s (cher).
Journal, orthophonique, épistolaire d'enfant sage et drôle et fier.
Jeux du je, d'écriture à contrainte d'amateur de pointure, marcher
dans les pas toujours jamais croiser son double et son contraire
paradoxe spatio-temporel et génét(t)ique assumé —
(« La diégèse est l'univers spatio-temporel désigné par le
récit » (Gérard Genette, Figures III) —
Je suis Billy the Kid/Je m'appelle Zaroff
est le nom que l'on me donne.
« Décapsuler des dindons au revolver est un jeu qui permet de tuer le temps et, accessoirement, des dindons. »
Empr-un/-ein-ter une plume, un chemin, une histoire. Le rayonnement
fossile d'une star. En (re)venir aux faits divers et réels (quand la
réalité étriquée se prend telle qu(')elle (est) pour le grand
ensemble du réel), psychologie de conte def (inside abroad
again). Pat & Bill copains comme cochons tuent des
dindons comme d'autres vident des canons, s'entendent comme lardons,
fixent leur baromètre et leur boussole morale selon leurs propres
inclinations (« l'Ouest c'est la gauche »). Pour le(s)
comprendre il faut suivre l'homo-/la paro-nymie, les analogies, lire
entre les lignes, déchiffrer l'écriture spécul-ative/-aire
[miroirs]. Sans tain/taire, voir à travers. La page, par
transparence, révélant une histoire différente [//parallèle//].
Explorer de toutes les façons (l'un) possible[s] l'imaginaire et
l'inimaginable.
« Pas Billy à la même coupe de cheveux que lui-même (s'il est le vrai Billy). »
Reconnaître Billy/Pas Billy (« On ne sait pas qui n'est pas
Billy the Kid ») quand on le/il se croise si on/lui-même survit ((« Je
suis Billy the Kid. Je tue les méchants et les gentils. Je tue
tout. »). Porte le chapeau (« Je suis Davy Crockett. »).
Suivre les flèches (« “Dindin” (d'Indien) »). Préférer le
calligramme à la calligraphie, les alias au déni, au dédain, aux
faux sangs blancs, visages pâles aux langues fourchues figeant le
râle du héros, spéculant sur la couleur de son cheval. Distinguer
l'identité du rôle. A court,
Billy cours/ne
court plus/n'a plus cours (rEwArD
wAntED
DEAD
or Alive
(« Je vaux aussi
cher vivant que mort ») 500 $
→ 1000 $ → 5000 $
→ 0 $).
A bout de souffle comme un
pour un Godard/dollar
de plus. Choose life,
going
to Mexico (I mean down in Mexico, Just look up a cat named Joe), or not
—
« Je suis l'ennemi public n° 1. Je suis le mal, ils sont
le bien. Ça se discute. » ou pas.
« Billy va devenir ce qu'il ne doit pas être aux yeux de tous, un homme. »
Quand ça se discute, ça s'écrit,
Billy y compris.
Chez
Ondaatje, Julien
d'Abrigeon retrouve SON
Billy. Impression de déjà
vu, soleil couchant. Gestes
et mots s'échangent, l'auteur
s'épanche,
se confie à ses amis, à
ses lecteurs ici. Billy
devient PAS Billy. Genèse
et exégèse du héros qui
poursuit son chemin jour et
nuit —
« J'ai
peut-être, comme Wallace, un véritable héros sous le nez. Je
vois 1650 adolescents par
jour. Je ne vois aucun héros. » Alors
Julien enquête,
en quête de héros se
penche sur les négatifs, les films (micro ou non),
dé-classifie/-construit son
homme, empaille,
se dé-mène/-penaille. Parler
de soi avec les mots des autres, des autres avec des mots à soi. De
Wallace, de John Wayne, de Liberty Valence qu'il tua, de JFK, du
pétrole, des Indiens, du bétail, de
tout le toutim le totem, c'est tout un. Sur le grill, Buffalo. Les
pieds dans le
plat, sur la sellette.
« Je n'ai plus envie de me battre je n'ai plus de feu, de plus j'ai pas touché une arme depuis la publication de votre avis de recherche don't want to shoot them anymore. Quant à mon attitude, demandez aux gens d'ici, chacun vous dira que la plupart des habitants sont mes amis ouvre-moi ta porte, et qu'ils m'aident de leur mieux, prête-moi ta plume (...) ouvre-moi ta porte où je frappe frappe frappe en pleurant »
Quand ça ne se discute pas, c'est
au
lasso que ça se (la)
joue. Les
cowboys dans les cités, la
grosse artillerie pour ne
pas manquer d'aplomb, la
même rengaine dégainée
chaque fois (la
bible tout ça) :
zones
de non-droit et insécurité. Même
là, même las, Billy essaie. Témoin
du crime sans l'avoir commis, rejoint
par Julien dans sa
lettre au gouverneur Wallace, dans cette fiche de personnage, par le
livre et le flingue, malgré le gaucher passé à droite, dans la
ré-ction/-pression, la
confusion et la perte, malgré
l'art de la guerre devenu cochon. Depuis,
le porc devenu président,
le trouble de l'ordre public et l'objection, l'antique
mensonge devenu vérité – Lingua
Trumpii Imperii :
fake news,
alternative facts
(« Les mensonges sont
vrais, les hommes de droite prennent le pouvoir, la Bible est là,
tout est en place pour le show. »)
– le bizz, le
bisbi, le
grisbi, le biffeton idolâtre sur lequel figure dieu
le père (bien et mâle
réunis en un clin d'œil), Amen.
« Je suis pas content. Je suis Billy the Kid et je suis pas content. »
Epuisé Billy/Pas Billy. L'enfant, avant d'être
homme/Le livre, en l'état actuel. Des choses, il s'en est dites
pourtant. Il s'en dit toujours. Il s'en dit à l'instant. De lui,
d'eux, on espère qu'il s'en dira encore. L'homme manque, le livre
manque. Pas les mots, pour s'écri-re/-ers et dire. Le mythe & la
vérité, le sens & le sentiment, qui perdurent. Ce qu'il faut de
cran et d'injustice pour faire un héros malgré lui/les autres, ce
qu'il est/naît (won't
you please come home where the grass is green and the buffaloes
roam ? ).
Victime de préjudices à répétition, rebelle aux lois plus
que bandit, justicier plus que brigand, Billy, plus qu'il dénonce,
venge le sort fait aux pauvres et aux Hispano-américains par une
autorité et une justice corrompues. Temps et ballade des pendus. Ni
super vilain ni super héros, Pas Billy the Kid est Billy the
Kid comme et pas comme Pas
Liev est Liev. Au bout du nez (trop court), la corde au cou
(trop haute), les flics au (cut).
« Je ne suis PAS Billy the Kid. »
Se sortir/Sortir
Billy/Ressortir
Pas Billy
de là, de sa prison de
papier maché,
de sa silhouette de carton-pâte,
enchaîné à son destin
comme Ulysse à son mat. Lui
redonner/laisser l'occasion
de. Se
déchaîner
(Je
ne suis PAS Billy the Kid).
Tracer
son propre horizon : devenir mur [ne plus porter le chapeau]. Ou
bien de.
Se rendre (c'est à dire pas
au Mexique, Billy the Kid
partirait au Mexique).
Grandir, « tuer
le gamin en moi » (promis-juré-craché), se défausser
(chasser les fossettes), (se)
réaliser. Trop
tard (trop tôt pour le
dire) trop tentant (« Je
me construis en tant que héros. Je suis Billy the Kid ») :
il faut que la légende
s'écrive en lettres d'or,
ou de sang. Sors
de là, basta(rd), affronte
les sirènes. Par()le
haut, pare les coups bas. Get
out Billy, prends
ton BOB (Bug Out Bag),
out-law ! Quand
on cherche, on finit toujours par trouver plus fort, plus riche, plus
malin que soi. Un de toi est de trop dans cette ville. Marche pas à
l'ombre, pas les pieds devant, walk
the line du bon côté
de la barrière, évite les barbelés, les Bartleby. Fait gaffe à la
gâchette, à la main froide qui défaille, hésite (une sec, une
seule cette fois) et il n'y
aura pas de duel. Pas
cette fois.
« Je n'étais pas chef de bande, j'étais juste du côté de Billy. »
(Billy the Kid au Las Vegas Gazette, 27 décembre 1880)
(Billy the Kid au Las Vegas Gazette, 27 décembre 1880)
Fan et féru de Billy, de musique (Dylan et Phil Ochs pour ne citer qu'eux), de cinéma, Julien d'Abrigeon met tout cela dans la besace de son Pas Billy. Balance la bande et le son – le fils prodig(u)e, le Kid quoi – en haute définition. Lui redonne vie, liberté, indépendance. Démonte, met en evidence les réseaux qui participent à la fabrique moderne de l'homme, du héros et de ses interprétations mythiques, musicales et cinématographiques (6 degrés de séparation 4,74 d'après le New York Times, 3 dans le même pays) de l'Amérique, du Nouveau Western (Les States sont une sorte de multinationale). Remonte les sources, descend en rappel, décroche, se rafte, se précipice, s'inscrit en vrai-faux contre la légende officielle et ses produits dérivés qui dépolitise le sujet pour en faire un objet — T-shirt du Che et drapeaux Bob Marley. Redonne voix et corps et sang et eau, un colt et des cartouches à son héros. Un héros actuel, né trop tard, mort trop tôt.
« Laisse là ce je Fonce tête baissée Baisse toi & fonce Tête baissée »
(Julien d'Abrigeon dans Pas Billy the Kid, à découvrir sur Tapin².)
Pas
roman,
c(h)oral,
poétique
et politique, bourré
de références, d'interférences,
d'ir-
et de révérences,
Pas Billy the
Kid
est, à
l'image de son personnage, un pro-/su-/ob-jet
protéiforme,
dont
on suit
la
(dé)construction
virtuose par
ana-/méta-morphoses.
Un texte juste et attachant sur l'enfance et la construction de l'identité par et malgré le jeu et le masque (la persona, lat. per-sonare : parler à travers). Un Billy/Pas
Billy the
Kid en kit, plus
complet que
jamais. Beau,
sincère,
drôle
et touchant, ludique,
stimulant, inspirant.
Qui
donne envie d'aller plus loin. Qui
a déjà
quelque chose du
Zaroff (Léo
Scheer, collection Laureli, 2009), du
Sombre
aux abords (Quidam,
2016 ) de
son
auteur.
Des
Deux scènes
familiales de
la vie du Général
de
Marc Perrin (Général
Instin, Anthologie,
Le nouvel Attila, collection
Othello, 2015),
de
la geste de Farigoule
Bastard de
Benoît Vincent (Le
Nouvel Attila, 2015 ),
ou
encore d'Anne
Kawala, Le cow-boy
et le poète (Chevauchépris)
(L'Attente,
2011).
De
ces textes qui. Slament
&
slashent
avec
panache,
s'ellipsent,
se
confient, se
donnent, se prêtent. Attention
à la forme comme au fond. Qui
touchent, typ(ograph)iques, et tapent. A l'oreille s'élèvent encore. A la voix résonnent plus fort. Des
textes qui en
ont, vont et viennent. De pairs, de cœurs. Et
qui font. Qu'il
faut. Que l'on doit. Rééditer
Pas Billy the Kid
de
Julien d'Abrigeon (s'il
y a un éditeur dans l'article, ou s'il est
un qui viendrait
à s'y
retrouver).
Le
lire et
le relire (si/quand/et
toutes
les fois où on
le
peut/pourra).
Et
lire
La véritable
histoire de Billy the Kid par
Pat Garrett pour savoir à qui l'on a affaire,
et lire
(et
dire) et
faire tout
ce que l'on (en)
pourra
(franchir
les barrières et tout ça). Pour
que l'aventure littéraire
et
réelle se poursuivent (l'une l'autre) et que, par elles, le Kid et ses pairs continuent
à
vivre.
Remerciements : à Julien d'Abrigeon pour ce livre et
pour cet exemplaire, l'un de ces trop rares en circulation et qui demeurait en sa possession il y a plus d'un an déjà
(et qui ne perdait rien pour attendre — le temps de partir en
cavale pour mieux s'en
saisir).
Crédits :
Photos © Eric Darsan (Photos de couverture : Ok Corral
dans le Cantal) Extraits et photos de Pas Billy the Kid © Julien d'Abrigeon, 2005.Photo pas de Billy : le Pas Billy de Lois Gibson créé à partir du Pas Billy de Ray John De Aragon qui serait le Pas Billy de Lucas. Source : © Santa Fe New Mexican & SFGate, San Francisco Chronicle. Vidéo © Moriarty, Naïve, 2007 (Jimmy, extait
de l'album Gee Whiz But This Is a Lonesome Town) Visuel To be continued : One Piece © Eiichirō Oda, Toei Animation.
Coming soon : La véritable
histoire de Billy the Kid, de
Pat Garrett, dans
la traduction
d'Estelle Henry-Bossonney
avec
préface de Thierry Beauchamp, sortie
le 9 janvier 2008
—
Réédité le 10 avril 2017
dans la collection poche
Griffe Famagouste
d'Anacharsis. La
véritable histoire de Billy the Kid (qui
est sans
doute)
La véritable
histoire de Billy the Kid (n'est
résolument
pas) La
véritable histoire de Pas
Billy (et
probablement pas)
La véritable
histoire de Billy the Kid, mais
plutôt (c'est
à dire d'abord),
comme
le rappelle la préface : La véritable histoire de Billy the Kid, le fameux desperado du Sud-Ouest, dont les actions audacieuses et sanglantes firent de lui la terreur du Nouveau-Mexique.